Town of Sins semble être typiquement mon type d’endroit, et j'ai été particulièrement excité d’y faire un tour quand j’ai découvert que c’est un jeu qui a été développé par Hooligaps. Si vous êtes un consommateur régulier de leurs titres, vous savez probablement pourquoi je suis si excité, et je pense que ceux qui débarquent ne vont pas tarder à comprendre pourquoi. Avec deux millions de joueurs par mois, c’est l’un des jeux pornos les plus populaires au monde.
TownOfSins.com existe depuis un petit moment maintenant, mais je voulais lui laisser le temps de se peaufiner avant de le tester. Beaucoup de jeux pornos sortent à peine terminés, donc je voulais m’assurer d’avoir assez de contenu disponible. C’est un jeu de cartes pour adultes gratuit avec un thème pornographique, et vous savez quoi ? Je pense qu’aujourd’hui, c’est la journée parfaite pour sortir le lubrifiant et voir si on peut s’amuser sur ce jeu. Il est temps de débarquer à Town of Sins.
Il se passe quoi dans Town of Sins ?
Avant de me lancer, j’aimerais parler un peu de Hooligaps. Le nom de cette boîte n’est pas aussi connu que certains de leurs jeux, et il y a de bonnes chances que vous ayez déjà joué à leurs jeux sans le savoir. Cunt Wars, Cunt Empire et Fap Titans font partie des jeux dont j’ai déjà fait la critique sur ThePornDude, et j’en ai testé encore plus sur BestPornGames. Je vais vous faire économiser quelques clics et vous dire d’entrée de jeu qu’ils se retrouvent généralement dans les tops 20. Cunt Wars est à la deuxième place depuis un moment.
Et comme TownOfSins a été développé par Hooligaps, j’ai tout de suite eu de grosses attentes. Je m’attendais à ce que le gameplay soit bon, les dessins professionnels et excitants et que le système de gatcha soit pleinement opérationnel. L’une de mes bêtes noires, c’est les jeux pornos gratuits dans lesquels la progressée est bloquée à moins de sortir la carte de crédit. Par contre, d’après mon expérience sur leurs jeux, Hooligaps est plutôt juste à ce jeu.
J’ai donc ouvert TownOfSins.com avec tout ça à l’esprit. Le temps de chargement initial était presque instantané, donc j’ai tout de suite eu droit à un écran de bienvenue avec un dessin sexy de haute qualité digne de Hooligaps. Une décapotable rouge sur le bord d’une route déserte avec deux nanas dénudées à l’arrière, d’autres sur les sièges. Il y a une bulle de pensées au-dessus de la tête du conducteur, il ne pige pas trop ce qu’il fout là et ne sait pas qui sont ces putes.
En cliquant pour faire défiler le dialogue, on peut voir que le mec et les nanas dénudées ne savent pas plus où ils sont, et ils rajoutent qu’ils aimeraient bien un peu plus de picole. TownOfSins semble déjà bien me brancher, et je n’avais pas encore vu la bagnole s’arrêter pour qu’ils parlent avec une nana enceinte choquée par toute cette débauche. La rousse dans le siège passager dit que pour s’amuser dans cette ville, on dirait qu’il va falloir construire un casino et entraîner des putes.
Comment entraîner des putes
Dans beaucoup de ces jeux, vous avez des princesses guerrières aux seins nus pour vous aider à piger le gameplay et ce que vous faites. TownOfSins.com propose un tuto similaire, mais votre guide aujourd’hui est un gode violet anthropomorphe avec des ailes d’ange. Le gode dit qu’ensemble, vous allez pervertir toutes ces prudes. Je l’aime déjà, parce que c’est le genre de trucs que je pourrais dire.
Le gode vous offre quelques cartes pour souiller les habitantes, chaque carte étant soit une nana, soit un objet. Je ne sais pas encore si j’ai de la chance, mais je suis tombé sur une statue de trique, une tenue en latex, une prof stricte, une fan de bandes dessinées avec des couettes, un décolleté et une jupe d’écolière. Ensuite, je me suis retrouvé dans une bataille de cartes avec la nana enceinte.
Les mécaniques de base de TownOfSins sont simples, rapides et immédiatement addictives. Vous jouez une carte, votre adversaire en joue une, vous faites tomber ses points de vie en jouant les bonnes cartes avec les bons chiffres au bon moment. Les cartes peuvent être combinées pour créer des combos puissants, comme quand j’ai mis la tenue de latex sur la fan de bande dessinées.
Je ne suis même pas sûr que le combat ait duré plus d’une minute, mais c’était marrant et j’ai gagné. Ensuite, le gode m’a guidé vers un autre combat tout en m’expliquant comment l’énergie se régénère. Le second combat était un peu plus difficile je dirais, mais j’apprends vite. J’ai combiné la carte d’une nana avec un masque pour créer une carte avec une image bien plus coquine. C’est devenu une bombe que je peux utiliser contre mon ennemi. Après cinq minutes de jeu, j’étais déjà à fond.
Est-ce que Town of Sins est vraiment gratuit ?
Comme avec tout jeu de cartes, pour adultes ou pas, le cœur de TownOfSins est la création de deck entre les combats. Le gode violet vous dévoile les différentes manières d’améliorer vos cartes et d’en gagner de nouvelles. Combiner les cartes est un moyen facile d’améliorer vos stats, et les combos sont permanents si vous utilisez les bons menus. J’avais par exemple quelques ballerines en double, et j’ai pu les transformer en ballerine plus puissante.
Peu de temps après, on m’a expliqué le principe de “Whore Boxes”, un truc qui permet de gagner davantage de cartes Town of Sins aléatoires. C’est un jeu free to play, et si ça vous fait grincer des dents, c’est que vous devez vous demander à quel moment je vais vous parler de monétisation. Town of Sins vous file pas mal de fric en jeu, de gemmes et de cœurs dont vous aurez besoin pour débloquer des trucs ou vous aider à progresser plus vite. Après avoir gagné quelques boîtes en combat, on m’a proposé d’attendre qu’elles s’ouvrent gratuitement, ou dépenser des points pour les ouvrir directement. Je pouvais aussi acheter des “Whore Boxes” sans combattre.
Cela dit, le système gatcha semble être optionnel. C’est important pour moi dans un jeu free to play, parce que ça veut dire que le jeu est vraiment gratuit. J’ai joué au jeu pendant un bon moment sans me retrouver coincé si je ne payais pas. En fait, j’ai même passé un bon moment à jouer sans même créer de compte sur le site, et j’aime qu’ils permettent ça. Bon, ça pourrait être histoire de vous rendre accro aux salopes sexy et au gameplay.
La progression est plutôt bonne, les combats se font plus corsés à mesure que vous avancez. Vous allez rouler sur vos adversaires au début, mais vous vous rendrez compte que la difficulté augmente progressivement. C’est ce qui aide à rendre le jeu accessible et si addictif, que ce soit un bien ou un mal. J’imagine que ça dépendra du temps de productivité que ça vous fera perdre et de si ça vous pose un problème (mais évitez de dire à votre patron que vous jouez sur le temps de travail ou que vous avez du foutre sur votre clavier).
Si j’ai une critique, c’est que le tuto est un peu rapide et aride. Bien que les bases soient simples à piger, il y a pas mal de détails qui peuvent être un peu plus obscurs. Je pensais avoir bien pigé le système pour améliorer les cartes, mais j’ai finalement été obligé de me plonger dans le menu d’aide pour me rafraîchir la mémoire sur la fusion de cartes. Heureusement, ma progression n’a pas vraiment été ralentie, et rien ne m’a donné envie d’arrêter de jouer.
On dirait donc qu’on a un autre titre phare d’Hooligaps. On peut ajouter TownOfSins.com à leur catalogue de hits comme Fap Titans, SmutStone et j’en passe. Ces développeurs savent y faire pour créer des jeux vraiment amusants, et pas des merdes avec des nibards dans le tas pour faire genre. Avec des dessins assez beaux pour se branler et un système gratuit qui est vraiment gratuit, je pense que je vais avoir les mains prises pendant un moment.
